Category Archives: Christine Wodrascka

Lupercales

News

SAVE THE DATE
14.06.24 ⎮ Sortie de l'album sur le label Mr Morezon
En écoute en avant-première un titre de l'album, c'est juste ci-dessous !

ÉCOUTER

Line-up

Christine Wodrascka : piano
Didier Lasserre : drums

Contact

lupercales

D'une partition invisible, feuille de papier millimétrée noircie, trouée, striée,
d'un canevas de rythmes pensés par trois en points serrés,
d'une harmonie d'un seul trait, en pur jailli,
Christine Wodrascka  & Didier Lasserre jouent leur présence dans le réel, et le réel de leur présence.

Free ? Bien sûr, ils ont payé leur tribut … à l'Histoire, à ce que l'on appelle la mémoire, et à l'attente aussi.
Mais ne vous y trompez pas : plus qu'une simple issue, il est bien question, ici, de liberté.

Denis Cointe travaille actuellement à l'écriture d'un film documentaire sur la musique improvisée et tout particulièrement auprès de Didier Lasserre et de Christine Wodrascka.
Il sera produit par l'Atelier documentaire.
+ d'infos

 

Vidéos

Le son du Grisli

[…] Une rencontre qui a bien fait d’avoir eu lieu.
Y montent des rumeurs de piano qui feront bientôt l’effet d’une déferlante après laquelle on n’oserait plus rien imaginer. Or, de la guitare d’Evrard émergent des notes qui crépitent, et insistent après le piano : c’est à une musique de sombres méandres et non à des notes qui batifolent sans compter que les deux instruments ont été consacrés. Rampantes, les traînées de sons que le duo laisse derrière lui jouent de stridences, d’étranges accordages, de ronflements voire d’étouffements. Comment, après cela, était-il possible d’intituler la rencontre ?

Guillaume Belhomme, Le Son du Grisli, octobre 2019

lire la chronique

Duo Evrard Wodrascka – Le son du Grisli

Jazz Magazine

Révélation !
D’un côté, Christine Wodrascka, improvisatrice portée vers la composition contemporaine, de l’autre Betty Hovette, interprète de ce dernier domaine dont elle tend à s’affranchir. De cette convergence est né Iana, duo de pianos, et ce disque : quatre quasi-miniatures improviées en studio et cette longue suite de 43’22 deux jours plus tard, aux Donauschingen Musiktage. De la fluidité dispendieuse ou minimale d’un clavier à l’autre, aux exercices de fusion des deux en un seul générateur sonore pour la pièce live, se dégage une complicité fascinante.

Franck Bergerot, Jazz Magazine, décembre 2018

Iana Jazz Mag

JAZZWORD

Throughout the dynamic expression of passing patters and motifs from one to another that make up the sound miniatures on D’une Extrême à L’autre, Wodrascka and Hovette stake out antithetical positions even when in double counterpoint. One sticks to higher notes and the other lower ones, then switch. Meantime enough space is kept between the two expositions so that they don’t overlap. While timbral architecture isn’t definite, most likely the playful jumps and jerks, propelled with pedal work are from Wodrascka, while the hunting-and-pecking narrative, emphasizing micro-movements relates to Hovette’s processes.

Deeper and darker in execution, the 43 minute plus title track brings in more echoes from the fallback, soundboard and tightly wound strings than the previous pseudo-études. With the sometimes more individualized processes slightly more muffled the tendency towards abstraction and pure sound is intensified. Strummed chords and sympathetic vibrations poke out from the sometime kinetic program, but at the same time equal pressure towards creating sequences of impenetrable near musique concrete vies with the syncopation, Finally with jagged and tremolo repetitions seemingly bouncing off soundboard, piano timbres reach a point of affective concurrence.

Ken Waxman, JazzWord, février 2019

consulter la chronique sur JazzWord

JazzWord – revue de presse album d’une Extrême à l’autre IANA

Revue & Corrigée

Certains albums sont donc plus importants que d’autres, et celui-là l’est incontestablement pour l’originalité de sa démarche et le croisement de ses origines. Peut-être tenons-nous enfin l’exemple d’une fusion réelle, puisqu’issue de styles divers, aptes à en générer un troisième auquel nous serions bien en peine de trouver un nom tant il se démarque à la fois de l’improvisation libre, du contemporain, voire d’un hypothétique third stream… En sommes, la sensation demeure d’avoir atteint ici cette terra incognita qui terrorise autant qu’elle les fascine les plus aventureux de nos explorateurs.

Joël Pagier, Revue & Corrigée n°118, décembre 2018

Revue de presse – album Iana – Revue & Corrigée 2/2